Plus de plaisir et de performance
à l’école pour les élèves
et leurs enseignants
Vous êtes directeur ou enseignant
Transformez votre école !
Augmentez la motivation
et les résultats de vos élèves,
simplement et efficacement,
sans magie, sans laxisme, sans forcer.
qui demande un changement de paradigme.
Vous pouvez y contribuer au niveau de votre école
ou de votre classe.
- autonomiser vos élèves,
- utiliser l’hétérogénéité de vos classes comme une force,
- permettre à chacun de vos élèves d’avancer à son rythme,
- augmenter la vitesse d’apprentissage globale de la classe,
- améliorer la discipline et l’empathie entre les élèves,
- rendre vos heures de cours moins fatigantes,
- ne pas vous épuiser en préparations et corrections.
… parce qu’elles demandent :
- une remise en question personnelle.
- la mise à plat de certaines croyances, par exemple à la lumière de la neuropédagogie,
- d’accepter l’inconfort de l’expérimentation.
Le seul moyen pour vous de changer ce qui se passe en classe, c’est de changer vos propres actions.
Etes-vous prêt à essayer ?
John Rizzo
Comment ai-je appris cette manière
de faire cours et d’organiser une école ?
- master en informatique (+ agrégation)
- formation de milliers de professionnels en informatique face à face,
- innovation numérique pour former des centaines de milliers d’informaticiens,
- revente de ma société à l’oncle Sam,
- analyse de notre système scolaire,
- instituteur dans diverses écoles → innovation avec les enfants,
- rédaction du livre “Sauver l’école ?”,
- direction d’un centre de formation pour enseignants,
- transformation d’écoles…
Mon rêve est que nos élèves retrouvent le goût d’apprendre, qu’une majorité sorte de l’école en disant:
“apprendre, je trouve ça chouette !”
Insupportable ?
Les initiatives se multiplient pour sortir de l’impasse:
La formule: prendre chaque élève là où il est.
Après transformation, une classe désynchronisée permet à l’un d’être au chapitre 2 et à l’autre d’en être au chapitre 20.
On prend chaque élève là où il en est.
S’il a 12 ans et ne connaît pas ses tables de multiplications, on ne fait plus semblant d’avancer quand même avec lui dans le programme de 1ère secondaire.
S’il est native English speaker et s’ennuie au cours d’Anglais, on le laisse s’envoler à son propre niveau.
Et surtout, l’enseignant arrête de s’épuiser à porter chacun à bout de bras.
Des enseignants heureux
Et les élèves ?
et la société qui change à toute vitesse,
beaucoup de familles et d’enseignants voudraient
plus de confiance
Aujourd’hui, plus de 60% d’élèves échouent au moins une année (FWB).
plus de joie
Aujourd’hui, une majorité d’élèves déclarent aimer l’école pour les copains, pas pour les apprentissages. Où est la passion d’explorer ?
plus d’ambition
Les écoles traditionnelles récompensent la passivité alors que nous voulons que nos enfants apprennent à être…
…des acteurs du changement créatifs, avisés, empathiques, autonomes, critiques et enthousiastes !
Comment se passe
une transformation d’école ?
Direction
Je m’assure que la direction est soutenante (sinon stop).
Collègues
Nous apaisons les relations entre collègues si nécessaire, par exemple lors de réunions préalables à une journée pédagogique.
Différenciation
Je montre aux enseignants comment différencier leur classe :
- avec vos supports de cours et votre didactique,
- en restant scolaire, sans faire faire des “projets”,
- en changeant de posture pour favoriser l’entraide entre élèves,
- en définissant des objectifs auto-évaluables pour les élèves.
Alors, commence un monde infini de possibilités que le cloisonnement de la plupart des écoles rend impossible, comme par exemple :
- uniforme éventuel,
- manuels scolaires habituels,
- disposition des bancs,
- devoirs à la maison,
- points au bulletin,
- horaires,
- classes par âge, etc.
Est-ce de la pédagogie active ?
Comment démarrer ?
1. Sollicitez un rendez-vous téléphonique.
Une école est trop complexe pour traiter les demandes par formulaire, et je n’ai plus le temps de faire ce travail par e-mail.
Le but du rendez-vous téléphonique est de qualifier votre situation et vos attentes. Un tiers des demandes se qualifient pour l’étape suivante. Les autres reçoivent des pistes de maturation. Les demandes soutenues par la direction sont deux fois plus nombreuses à se qualifier que les autres.
2. Second rendez-vous téléphonique.
Lors de notre première conversation, vous recevez une série de pistes de travail en termes de phasage, de financement et l’implication de l’équipe éducative.
Ce second rendez-vous téléphonique avec la direction et un enseignant permet de préciser un plan d’action initial.
3. Démarrage.
Lorsque le plan d’action co-créé est approuvé par les financeurs (école, PO, formation continuée, fond européen, agence de développement, etc.), je me rends dans votre école afin de vous procurer au plus vite la satisfaction encourageante de premiers résultats.
Nous combinons généralement une formation des enseignants dans leurs classes avec leurs élèves, et des journées pédagogiques plus théoriques.
Combien ça coûte ?
Le coût d’une intervention est directement proportionnel au temps que j’y passe. Une grille d’exemples chiffrés est donnée lors du premier contact téléphonique.
Un exemple ?
Le chapitre 2 le montre pour des adultes.
Le livre “Les lois naturelles de l’enfant” de Céline Alvarez reprend ces principes pour une classe maternelle.
Sortir de la fatalité
- non motivation des élèves,
- climat de classe stressant, voire violent,
- élèves avec lacunes parfois abyssales à rattraper en plus du programme,
- défiance de certains parents, etc.
La grande majorité des professeurs que je rencontre ont toutes les aptitudes et compétences pour donner cours d’une manière qui permettrait de gérer ces défis. Ils ont juste besoin d’un coup de pouce pour retourner la situation, d’abord dans leur classe, puis collectivement.
Directeurs
sont intéressés par plusieurs des points suivants.
Réputation
Leur école gagne en réputation auprès des parents.
Evaluation rigoureuse
Une évaluation rigoureuse et continue remplace les difficultés qui s’agglutinent en fin d’année dans le secondaire:
- grosses sessions d’examens avec montagnes de corrections,
- conseils de classe stériles pour décider de redoublement,
- jours blancs,
- examens de passage.
Décloisonnement
L’école se décloisonne:
- horaire plus flexible (écoles secondaires),
- classes plus ouvertes aux collègues et autres élèves,
- plus de ponts entre les matières,
- travail naturel en équipe en présence des élèves (plutôt que de créer des réunions de concertation artificielles)
Taux de réussite
La vitesse globale d’apprentissage augmente, ainsi que le taux de réussite des examens externes (CEB, CE1D et autres).
Journées plus sereines
L’équipe éducative est plus soudée; elle propose plus de solutions que ce qu’elle rapporte de problèmes, rendant les journées du directeur plus courtes et sereines.
Intégration
L’intégration des élèves particuliers est plus facile :
- ceux qui ne parlent pas français,
- ceux qui ne savent pas écrire,
- ceux qui ne savent pas se concentrer,
- même un élève sourd-muet s’intégrerait plus facilement.
Demandez votre rendez-vous téléphonique
Décrivez-moi brièvement votre situation, et voyons ce que nous allons faire !
Eddy Caekelberghs interview longuement John Rizzo sur l’adéquation de la forme scolaire au 21e siècle. Jacques Liesenborghs apporte ensuite son commentaire.
C’est beau, c’est fluide, c’est impeccable, amusant, amusé, taquin, cultivé. Parfois un peu « golden boy » sur le bord, mais cela en fera rêver certains… Le style est enlevé, cela se lit comme on participe à une conversation. Et c’est surtout un très beau cadeau de la pensée à toutes celles et ceux qui réfléchissent à l’avenir de notre enseignement.
Michel Wery
Ce petit mot pour vous remercier de votre livre que j’ai trouvé super et qui m’a bien reboostée avant la rentrée des classes ! Je l’ai fait lire à un collègue qui ne veut plus me le rendre (!) alors que le directeur l’attend aussi…
Caroline
Parents, enseignants, responsables, lisez Sauver l’école ? Vous comprendrez ce que je cherche à comprendre depuis mon arrivée en Belgique après une jeune vie et une carrière de 20 ans dans l’enseignement au Congo : pourquoi les élèves belges sont-ils si amorphes quand ils ne sont pas révoltés ? Pourquoi ne savent-ils rien, ne comprennent-ils rien ? Pourquoi ont-ils si piètre opinion d’eux-mêmes ? Rizzo répond à mes éternelles questions ! Aux vôtres !!
Mia Vossen
Inverview sur double page par Isabelle Lemaire qui nous donne son éclairage sur le livre dans la Libre. Me voici décrit en “Zorro” qui “ne va pas se faire que des amis”. Restant dans l’atmosphère nuancée du livre, l’interview passe du désarroi des profs à notre ministre pour finir sur la douleur de l’accouchement qui s’annonce.
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Date: 18 avril 2015
John Rizzo partage de son expérience, qui est parfois très drôle, en essayant de comprendre, sans prétention, sans préconiser de méthode particulière, sans avis impératif. Il propose avec passion, des pistes d’exploration en nous disant, qu’il n’y a pas de fatalité, que vous avons les moyens de faire mieux.
Véronique Thyberghien
Questions Clés
Enthousiaste description du livre par Véronique Thyberghien complétée par l’interview de John Rizzo.
La lecture est aisée et motivante. On s’y accroche avec l’envie d’être déjà 10 ou 20 pages plus loin afin de connaître ce que sera la conclusion, ou mieux – car l’écriture ne laisse pas planer de doutes – les suggestions, les chemins possibles face à un vrai noeud.
Claude Voglet
Cher John, Félicitations et merci pour ce livre très intéressant, super innovant, et surtout profondément sincère, un ouvrage vraiment à part dans le monde enseignant.
Virginie Tyou
Combien d’adultes payons-nous pour s’occuper de 100 élèves? 4, répond Pierre Thirion de TVCom. Réponse classique, mais loin de la réalité.
Je viens de terminer ton ouvrage que j’ai dévoré et qui m’a beaucoup plu ! Félicitations pour le ton souvent drôle, les propositions toniques, les récits enthousiasmants, l’humilité et l’ambition !
Pierre Mathues
Ce livre est la fois passionnant et émouvant, quelque peu déroutant parfois. A l’image de celui qui l’a écrit.
Valérie Cirriez
La vie du bon côté
Interview par Sylvie Honoré, dans la bonne humeur.
Je lis ce livre dans le tram et ça fait deux fois qu’il a failli me faire rater mon arrêt!
une maman
Ce livre a le mérite de faire parler de l’école, mais offre une vision naïve et, me semble-t-il, tronquée de la réalité. En tant qu’enseignante progressiste je ne partage pas du tout cette vision néo-libérale et caricaturale de notre enseignement.
Cécile Gorré
Marc Herman interview John Rizzo dans l’émission “Melting pot” sur le livre “Sauver l’école?” sur BXFM le 27 avril 2015
Au delà d’un aspect peut-être un peu outrancier, “Sauver l’école?” est un ouvrage agréable à lire et qui peut donner des idées aux enseignants. C’est le livre d’un
passionné qui veut sincèrement apporter sa pierre à l’édifice de l’école.
Isabelle Lemaire
Soraya Ghali livre une analyse plutôt polémique du livre, avec des extraits.
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Date: 13 mars 2015
John a été loin dans sa démarche de questionnement; puisant dans de nombreux ouvrages de référence, écoutant ceux qui ont voulu partager leur expérience, il expérimente de nouvelles pratiques pédagogiques à la surprise de tous.
Il parle de ses constats, de ses réussites et ses échecs avec humour et réalisme.
Un livre qui secoue les habitudes et les idées toutes faites. A lire de toute urgence !
Agnès Depaille-Ponselet
Je suis persuadée que, pour beaucoup de points, John Rizzo est dans le bon. A y réfléchir, ce qui me gêne surtout c’est que, dans son approche, comme il l’a lui-même expérimenté, le prof finit par s’ennuyer, perdre le plaisir et se retrouver un peu exclu de la dynamique d’apprentissage…Personnellement, je ne suis pas prête pour ça ! Mais je suis consciente qu’il s’agit d’un blocage affectif : tel un parent avec son enfant, un prof a du mal à lâcher la main de son élève et à accepter de ne plus être nécessaire…
Bref, tout ceci fait un fameux remue-ménage dans ma tête…
Céline, professeur de français.
#m magazine
Interview piquante de John Rizzo par Jean-Christophe Pesesse.
Je viens de finir votre livre et je vous dis dix fois merci d’avoir écrit ce que je pense depuis des années.
Richard
Je suis institutrice primaire depuis 11 ans. Votre livre me libère et appuie mes opinions et mes découvertes. Il m’a donné les ailes que l’on essaie de me couper
Sarah
Article de Jean-Paul Bombaerts.
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Date: 8 avril 2015
Mais comment as-tu réuni ces émotions d’instants clé, les “éléments discrets du langage non-verbal”? Prenais-tu des notes en secret entre deux consignes? Avais-tu vraiment une caméra furtive sous le bras?
Julien
C’est un livre qui prend à la gorge!
Leila, enseignante.
Etant enseignant, je partage votre critique du système, qui est, selon moi, à l’agonie.
Mathieu
Interview par Jonathan Fishbach, dans la philosophie du livre, avec un long extrait.
16 avril 2015
Basé sur un partage très vivant de son expérience avec des élèves dans des conditions très diverses, John Rizzo sème des graines de changements que nous devrions tous arroser en lisant son livre et en discutant avec nos proches.
Alain Vereecke
Mia Vossen publie un avis plutôt tranché sur “Sauver l’école?” dans “Enquête & Débat” et dans “M… Belgique”
« Sauver l’école ? » m’a d’abord séduit par la forme du récit, très fluide et bien écrit, très vivant aussi parce que les pieds dans la glaise. Un ouvrage qui traduit une longue et patiente quête de la bonne pédagogie, tout en s’appuyant sur une large documentation : pas d’œillères, un horizon à 360° !
Jean-Luc Lefèvre
Journal Parlé
Courte interview par Barbara Boulet sur le livre “Sauver l’école?”
La deuxième partie du livre aborde des mécanismes de notre système scolaire et leurs dysfonctionnements à la mode du journaliste. Un livre plus complet qu’il n’y parait au départ. Quelques bémols… Le manque d’autonomie des enseignants et directions d’école, la rigidité des rythmes scolaires, les mesures linéaires prises en haut lieu, de vrais fléaux… à peine esquissés.
Merci pour ces 500 pages de remise en question.
Barbara Dufour
Ton expérience me conforte notamment dans l’idée que l’avenir de l’enseignement réside en grande partie dans des personnes qui combinent les expériences dans le privé et dans l’enseignement..
David Verschelden
Jean-Jacques Durré et Anne-Françoise de Beaudrap posent leurs questions éclairées sur l’école…
Je l’ai relu plus lentement …. j’aime, j’aime, j’aime!!!!
Monique Frédérickx, ex-prof de math de l’auteur
Une des meilleures interviews sur le livre, par Martin Boonen, sur 3 pages.
Article
Date: 1er avril 2015
J’ai lu le livre d’une seule traite en vacances, un vrai plaisir. Fluide, il se lit comme on dévore un roman biographique d’une tranche de vie. Pleins d’anecdotes vécues comme enseignant et parent, le livre pose subtilement les vraies questions : quelle école, quels adultes et quelle société voulons-nous demain pour une élévation de l’Être et évoque des pistes d’ “apprentis-sage”.
Pierre Moorkens
Accessible, documenté, argumenté et structuré : excellent…
Pierre, astronome
InfoCatho.be
Anne-Françoise de Beaudrap relate la conférence/spectacle de sortie du livre “Sauver l’école?”.
Date: 4 avril 2015
Je m’inspire de vos idées tous les jours en classe. Je parle moins, je les fais plus parler entre eux, s’expliquer,… je nomme des assistants qui viennent au tableau faire les corrections en demandant aux autres d’expliquer comment ils font.
Caroline
Je suis un instituteur de 46 ans et j’ai 25 ans d’expérience. Je me surprends à mettre en place certaines pratiques que vous décrivez.
Yvan
Jolie synthèse du livre, par Catherine Moreau.
Slow Classes
Quand une journaliste devient prof, cela donne “Slow Classes”, un magazine qui approfondit notre questionnement sur l’école dans un langage travaillé. Nathalie Dillen ne fait pas de la “Fast Press” dans son dossier p.15 quand elle brasse une interview sur “Sauver l’école. ?” avec une touche d’économie (Étienne De Callataÿ) et un liant philosophique (Michel Serre). À lire, à son aise, pour se faire plaisir !
J’ai trouvé dans ce livre ce que j’y cherchais : une approche pragmatique et réaliste, loin des grands édifices théoriques qui ne résistent pas à l’épreuve du terrain.
Yannick Bauthière
Annabelle Duaut nous donne sa lecture du livre dans Studeo, le supplément du Soir.
Article
Belle émission où l’invité (John Rizzo) a le temps de développer son sujet. Ici, par rapport aux interviews précédentes, il change un peu “son disque” et propose deux nouvelles anecdotes qui ne sont pas dans le livre.
Je viens de terminer votre livre qui est la voie de la sagesse révolutionnaire mais qu’encore trop peu de personnes partagent dans le concret. Un bon nombre probablement vous donne raison, mais l’immobilisme de quelques enseignants (pour leur confort, par habitude, par manque de créativité….) décourage les plus imaginatifs au sein des équipes pédagogiques.
Monique Lozet
Comment ?