Je suis persuadée que, pour beaucoup de points, John Rizzo est dans le bon. A y réfléchir, ce qui me gêne surtout c’est que, dans son approche, comme il l’a lui-même expérimenté, le prof finit par s’ennuyer, perdre le plaisir et se retrouver un peu exclu de la dynamique d’apprentissage…Personnellement, je ne suis pas prête pour ça ! Mais je suis consciente qu’il s’agit d’un blocage affectif : tel un parent avec son enfant, un prof a du mal à lâcher la main de son élève et à accepter de ne plus être nécessaire…

Bref, tout ceci fait un fameux remue-ménage dans ma tête…

Céline, professeur de français.